Sans être une grande amatrice de Blythe lourdement modifiées, c’est toujours agréable d’en avoir quelques unes sous la main pour varier les rendus en photo. C’était aussi, pour moi, l’occasion de ressortir mes scalpels, après plusieurs années de pause, avant de ré attaquer la résine. Pas de bouche pulpeuse, pas de maquillage réaliste, la modification et la peinture sont relativement simples pour garder cet esprit toy vinyl stylisé que j’aime tant chez ces demoiselles grosses têtes.